Les entreprises prônent le recours à un cabinet de recouvrement

Roger V. coordinateur administration des ventes dans une société d'équipement automobile. Dans le cadre de l’une de ses activités, l’entreprise de Roger V. était amenée à travailler avec plusieurs centaines de concessionnaires et de garagistes. Parmi les grands comptes, les procédures de paiements étaient différentes des démarches traditionnelles.

recouvrementRoger V. coordinateur administration des ventes dans une société d’équipement automobile.

Dans le cadre de l’une de ses activités, l’entreprise de Roger V. était amenée à travailler avec plusieurs centaines de concessionnaires et de garagistes. Parmi les grands comptes, les procédures de paiements étaient différentes des démarches traditionnelles. Pour ne pas perdre de temps à étudier les points de divergences et à les assimiler, l’entreprise de Roger V. a confié à un cabinet de recouvrement le règlement des litiges avec ces grands comptes, lui permettant de se consacrer, elle, qu’aux créances «traditionnelles ».
Dans ce cas précis, le recours à un cabinet de recouvrement a permis d’assainir la situation de leur poste client.

Jérôme B., directeur financier d’une entreprise de la filière vitivinicole.

Le cabinet de recouvrement a été choisi pour clarifier une situation comptable : épurer les créances anciennes. Œuvrant dans une filière vitivinicole, l’entreprise en question était peu désireuse d’adopter des pratiques commerciales agressives : ce n’était tout simplement pas une question d’habitude. Cependant, avec des clients qui ne commandent en moyenne qu’une fois par an, la menace de ne pas accepter de nouvelles commandes était faible et inopérante. De plus, avec un chiffre d’affaire de 70% tourné vers l’export, les pratiques de paiements différaient entre les clients.
La mission du cabinet de recouvrement était donc d’assainir l’historique des comptes clients et travailler dans une démarche régulière avec l’entreprise pour qu’elle puisse conserver sa relation commerciale intacte – indispensable à l’exercice de son métier – tout en obtenant le paiement pour ses prestations en temps et en heure.

Jean-Yves Le S., chef comptable dans une entreprise du secteur Industriel

En matière de recouvrement de factures, certaines entreprises vont préférer externaliser au plus vite en faisant appel à un cabinet de recouvrement pour effectuer les premières relances à l’amiable : le gage d’une flexibilité et d’une réactivité accrues.
D’autres, comme la société de Jean Yves Le S. vont recourir dans un premier temps à leurs commerciaux pour effectuer cette démarche. Souhaitant préserver le plus longtemps possible, les relations commerciales entre les entreprises et les clients, elles préfèrent responsabiliser leur personnel en Interne. Le recours un organisme de récupération des impayés n’est envisagé alors que dans le cadre de démarches en contentieux.
Si la démarche interne reste infructueuse, l’externalisation apparait comme la solution la plus avantageuse en termes de coût, par rapport à un recrutement. Avec plus de 600 créances non échues par an, le cabinet de recouvrement sollicité par l’entreprise de Jean-Yves Le S., est très occupé. Et avec 80 % des factures récupérées et les 20 % qui s’expliquent souvent par un dépôt de bilan de la société débitrice, l’entreprise employeur a de quoi être largement satisfaite.

Jean-Louis B. customer financial services europe manager d’une société intervenant dans les téléviseurs.

La problématique du volume des factures et de leurs suivis sur une étendue géographique importante est également une raison pour demander l’assistance d’un cabinet de recouvrement. Dans ce cas bien précis, la societe de creance choisie a été mandatée pour couvrir l’intégralité  de la chaîne financière de la relation client. Elle a proposé également à l’entreprise un outil collaboratif qui lui est apparu flexible, transparent et efficace pour leur organisation.

Thierry V. responsable administratif et financier d’une société de pompes à vide et compresseur

Avec un fichier de 7.000 clients et 800 factures par mois, la société de Thierry V. assure dans un premier temps, les relances avec un système automatisé. Au bout de trois courriers, les créances sont classées en contentieux et l’entreprise fait alors appel à un bureau de recouvrement de facture de renommée. Bénéficiant de son aura auprès de ses clients, elle leur permet d’afficher leur détermination à porter ce dossier devant les tribunaux, si besoin est. Entre 20 à 30 dossiers par mois sont confiés au cabinet de recouvrement et le taux de récupération est de 88 %.

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